Numéro |
Radioprotection
Volume 10, Numéro 4, Octobre-Décembre 1975
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Page(s) | 229 - 234 | |
DOI | https://doi.org/10.1051/radiopro/19751004229 | |
Publié en ligne | 20 août 2017 |
Rejets radioactifs des centrales nucléaires et environnement(*)
Électricité de France, Service de la Production thermique, Département de Radioprotection, B.P. n° 120, 93203 Saint-Denis.
Après avoir dressé le bilan des rejets radioactifs gazeux et liquides des centrales nucléaires en service ou en projet, on donne une méthode simple d’appréciation de la dose pour les voies directes d’irradiation de l’homme que constituent l’inhalation et la consommation d’eau de boisson. Les résultats complets de l’estimation portant sur toutes les voies d’irradiation directes ou indirectes font apparaître que la dose annuelle extrême est de quelques millirems par an pour un site tel que Fessenheim. Les contrôles dans l’environnement, effectués tant par l’exploitant nucléaire que par la Santé Publique doivent permettre de confirmer ces estimations.
Abstract
Gaseous and liquid radioactive effluents from operating or scheduled nuclear power plants are reviewed and a simple method of dose assessment for direct pathways of human exposure resulting from inhalation and tap water is given. The complete results of the assessment of all the direct or indirect exposure pathways show that the highest annual dose is to be a few millirems per year for a site such as Fessenheim. Environmental controls carried out both by the nuclear operator or Public Health Services should verify these assessments.
© DUNOD 1975
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